Le rêve du naufragé
Une immense ile de bonheur
Suspendue entre ciel et terre
Mirage dont je suis le cœur
Une ile survole la mer
Je suis l’être multicolore
Qui laisse entendre un son de lyre
Mon ile survole l’aurore
Sans jamais songer amerrir
Mon ile, folle d’allégresse
Suspendue aux étoiles
Est submergée de tristesse
Alors, je mets les voiles
Je savais bien que cela ne pouvait durer
La félicité n’est pas de ce monde
Ah ! Mon ile oublie déjà qu’elle a existé
Je continue à me débattre dans les ondes.
Retour aux articles de la catégorie poèmes sans détours -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 54 autres membres